CHOISIR SON ALIMENT ET SORTIR DU MEDICAMENT

CHOISIR SON ALIMENT ET SORTIR DU MEDICAMENT

Mes réponses aux « 10 mensonges de l’industrie agro-alimentaire » dénoncées par le Dr Jean-Pierre POINSIGNON, dans Santé Nutrition 

Bonjour

Parce que j’ai été jeune, parce que je ne le suis plus tout à fait.

Parce que j’ai eu une bonne santé (ou presque), parce que je l’ai perdue (colopathie fonctionnelle due au polymétallisme en bouche) pendant 20 ans, mais retrouvée depuis 5 ans.

Parce que j’ai été moi aussi un robot programmé pour ne pas réagir, et qu’un peu avant de guérir j’avais décidé de prendre ma santé en main avec l’assistance d’un bon médecin.

Pour toutes ces raisons, j’analyse et j’approuve ce que dit le Dr Jean-Pierre POINSIGNON.

Cordialement.

Cymone (Une ex-colopathe qui veut vivre encore longtemps et en bonne santé.)

- Au paragraphe 1 concernant « la surconsommation alimentaire », je me pose la question : pourquoi certaines personnes dévorent et mangent toute la journée, contrairement à d’autres qui se contentent d’une alimentation équilibrés, sans grignotage entre 2 repas ? Si elles vivent pour manger, c’est qu’elles ne trouvent pas d’autres plaisirs à la vie, ou si peu ? La télévision serait la principale nourriture de leur esprit, et leur maître à penser, publicité alimentaire comprise ? Est-ce un sentiment de solitude (ou d’exclusion) qui les pousse vers cette dérive de surconsommation ?

- Au paragraphe 2, je répondrais que les centres commerciaux sont les premiers complices de cette industrialisation alimentaires à des fins mercantiles, et qu’en parallèle les clients sont pour la plupart des gens surbookés qui en fin de semaine, remplissent machinalement leur chariot sans faire de comparaison entre la bonne et la mauvaise nourriture. Ils se conduisent comme des robots programmés par l’industrie agroalimentaire ! 

- Au paragraphe 3 concernant « une nourriture colorée chimiquement, pour la rendre plus attractive », je dirais que les parents robots qui ont la nostalgie d’une enfance colorée par des sucettes et des bonbonneries, sont programmés à leur insu, pour toutes ces addictions. Dommage, il y a pourtant d’autres nourritures, moins colorées mais cependant meilleures à la santé. Les magasins bio (un peu trop chers, certes !) nous font découvrir des plaisirs nouveaux avec une alimentation beaucoup plus saine.

- Au paragraphe 4, « Invention de molécules olfactives, simulant, artificiellement, les molécules naturelles » je dirais que les robots ne distinguent pas le faux du vrai et qu’ils carburent avec de fausses molécules, peu leur importe !

- Au paragraphe 5, « Faire croire que « le sucre » issu de la betterave sucrière ou de la canne à sucre est un « poison » alors qu’il est trop épuré et le remplacer par des vrais poisons « édulcorants » je répondrais que la mélasse (ou sirop de canne à sucre) est très bonne à la santé, qu’elle est principalement riche en fer, en magnésium et en calcium.

- Au paragraphe 6, « Faire du lait animal et de tous les produits dérivés, des bases alimentaires pour l’être humain au prétexte de leurs abondances en calcium et en protéines de « croissance », je répondrais, que le lait des animaux n’est pas bon pour la santé des humains. Habitués que nous sommes à en consommer depuis l’enfance, nous ne réalisons pas tous les dégâts qu’ils font en nous. Et pourtant, une alimentation sans laits ni produits laitiers, il suffit de l’essayer pour l’adopter. Depuis ce régime, je n’ai plus d’inflammations au niveau de la sphère ORL et je n’ai plus de bronchites chroniques ! 

- Au paragraphe 7, « hydrogénation » des lipides liquides végétaux » je répondrais qu’une huile bio de première pression à froid est meilleure à la santé qu’une margarine.

- D’accord avec le paragraphe 8 sur le sel à outrance qui inhibe la prolifération des bactéries, favorise l’hypertension et la fuite du calcium de l’organisme.

- D’accord avec le paragraphe 9 concernant « les dangers de la cuisson haute température et (ou) des fours à micro-ondes. » mais je rajouterais, qu’il sera difficile de revenir en arrière en se passant totalement des fours à micro-ondes qui nous font gagner un temps fou. Et pourtant ce serait la sagesse à respecter. Essayons de changer nos habitudes quand même.

- Pour terminer cette analyse, je dirais avec une pointe d’ironie, que seuls les robots peuvent se faire avoir avec le concept « des alicaments » décrits dans le paragraphe 10. Mais les robots, pourtant de plus en plus nombreux, sont si vulnérables et si fragiles qu’en remplissant leurs réservoirs d’un carburant frelaté, ils ne réagissent même pas.

- Le Dr Jean-Pierre POINSIGNON dit : « S’il faut reconnaître à l’industrie agroalimentaire la production d’une quantité suffisante pour « nourrir » la population occidentale, il faut aussi reconnaître que la qualité n’y est pas ! L’épidémiologie des cancers, de l’obésité, du diabète, des maladies dégénératives du système nerveux central tel que la maladie de Parkinson ou la maladie d’Alzheimer prouve que l’alimentation « moderne » est à modifier, si nous voulons vivre vieux et en bonne santé. »

Je répondrais que la misère et la crise économique ont sans doute une bonne part de responsabilité dans tout ça, mais qu’elle n’excuse pas toutes les dérives. Si nous le pouvons, mangeons moins, mais mangeons mieux en nous rapprochant des produits naturels.

-       Effectivement, comme le dit le Dr Jean-Pierre POINSIGNON « On nous ment, on nous trompe, on nous donne des conseils frelatés. C’est triste et malhonnête. »

Bien cordialement

Cymone